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Rechercher Derniers commentairesavec un peu de retard, merci beaucoup. http://poeguy. centerblog.net
Par poeguy, le 29.05.2023
merci beaucoup. http://poeguy. centerblog.net
Par poeguy, le 29.05.2023
magnifique, très bon choix !
Par Anonyme, le 03.05.2023
magnifique
Par Anonyme, le 10.04.2022
bonjour,
oui, j'ai croisé l'écriture de gérard dans quelques revues comme décharge, comme ça et autrement,..e
Par poeguy, le 03.03.2021
· L'amour des roses: Guillaume Apollinaire
· la fonte des masques: Guy Pique
· Gentil-Bernard
· poésie partout
· Un murmure d'entre les neiges: Anne Hébert
· Un bon copain: Robert Desnos
· André Breton
· Lumière sur les moins que choses: Francis Ponge
· Stéphane Mallarmé
· L'exil, par tout le corps: Emmanuelle Le Cam
· La peine en perles de souvenirs: Bénédicte Destouches
· L'écriture au ras des doigts frémissant: Valérie Rouzeau
· Approche d'une fleur, Anita Endrezze
· Contrepoint : Mahmoud Darwich
· Invitez-moi à passer au soleil: Joyce Mansour
Date de création : 21.10.2020
Dernière mise à jour :
03.02.2025
619 articles
Abandonnée à l'Assistance publique à Alger quelques jours après sa naissance, Albertine Damien est adoptée par un couple âgé. Elle n'a alors que 2 ans. Impuissants à comprendre et à diriger la forte personnalité de l'enfant, les parents adoptifs la font enfermer au Bon Pasteur de Marseille. Evadée, elle gagne Paris où elle se prostitue et finit par risquer un hold-up qui l'amène à la prison de Fresnes, puis en prison école. Evadée de nouveau, elle rencontre Julien Sarrazin qui la cache et l'épouse 2 ans plus tard. Mais ils vivront très peu ensemble, l'un et l'autre sont périodiquement emprisonnés. Elle écrit dans sa cellule 2 romans qui, parus en 1965, connaîtront un succès immédiat: L'Astragale et La Cavale. Elle meut le 10 juillet 1967, à la suite de négligences lors d'une opération.
{...] Le trottoir
Vers 16 heures, je fais une toilette appliquée, conçue pour résister jusqu'à la nuit : bas inaccrochables, rimmel qui ne coule pas, fringues où l'on paraît élégante et où l'on se sent chez soi ; je pile et j'époussette , je range ma chambre comme une pensionnaire, d'abord parce que j'ai un peu le trac des femmes de ménage, ensuite parce que peut-être, je n'y reviendrai plus jamais. [...]
Albertine Sarrazin
( 1937-1967 )
" L'Astragale"